Paris Pages Jaunes

Un film de Benoît Labourdette (1’, 2019).

12 août 2019. Publié par Benoît Labourdette.

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Paris vu par son annuaire papier en 2019.

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2019 : Lussadoc.org

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Tous les films de « Courts métrages »

Aux alentours

Un film de Benoît Labourdette (3’33s, 2013).

A Vitrolles, dans le sud de la France, un pic rocheux surplombe la ville. On y a trouvé des vêtements éparpillés, et un téléphone portable, dans lequel il y avait une séquence vidéo et un texte. (…)

Prochain train

Un film de Benoît Labourdette (2’51s, 2024).

L’arrêt du temps. Et puis la vie qui revient. La douleur est la vie. La douceur est la vie. Réplications. Messages. Double hélice. Panser. ProlongementsLorsqu’on vit des expériences limites ou (…)

L’évènement

Un film de Benoît Labourdette (2’38s, 2021).

Observer ce qui se passe, derrière les éternelles apparences.

Route de nuit

Un film de Benoît Labourdette (3’44s, 2013).

« Petit enfant, au fond du siège arrière de la voiture, le voyage et les lumières de la nuit ne sont pas très réels. La fatigue aidant, trois minutes de voyage dans la rue paraissent trois longues (…)

Myopie

Un film de Benoît Labourdette (2’33s, 2021).

Une myopie peut se déclencher avec un traumatisme. Il nous reste la poésie.

Accident grave voyageur

Un film de Benoît Labourdette (2’43s, 2005).

En 2005, les caméras apparaissent dans les téléphones, et invitent à filmer le quotidien. Un des premiers films tournés au téléphone portable.

Bâtiment H

Un film de Benoît Labourdette (7’03s, 2012).

La métaphore du parcours de vie d’un être humain à travers un parcours visuel « kaléidoscopique » dans un bâtiment.

La main

Un film de Benoît Labourdette (3’03s, 2021).

La main de l’homme est ce qui lui donne la parole.

Au stade de Venise

Un film de Benoît Labourdette (6’11s, 2018).

Un événement traumatique bouleverse passé, présent et notion de réalité.

Des arbres, une femme

Un film de Françoise Simpère et Benoît Labourdette (6’38s, 2020).

Une promenade, un dialogue intime avec soi-même et avec la nature, un chemin pour se retrouver, être au monde. Un film né d’un dialogue entre des images et un texte.

En souvenir d’Alice

Un film de Benoît Labourdette (6’40s, 2017). Avec Marion Geerebaert.

Une mère revient sur les pas de sa fille disparue. Le travail du deuil, comme le travail de la naissance, est un travail d’amour inconditionnel.

Dormir à Paris

Un film de Benoît Labourdette (3’41s, 2023).

Trouver un sens à la vie, malgré ses plus terribles drames.

Petite lune

Un film de Benoît Labourdette (1’26s, 2023).

J’essaie de regarder plus loin, de ressentir plus en profondeur.

Cordes vocales

Un film de Benoît Labourdette (2’31s, 2012).

De l’érotisme de l’instrument de musique.

ZonE franchE

Un film de Benoît Labourdette (3’52s, 2017).

La mémoire d’un drame, et une confession inattendue.

Ouverture prochaine

Un film de Benoît Labourdette (2’34s, 2013).

Le discours d’un père à son fils pour l’ouverture de leur prochain magasin de prêt à porter. Capitalisme, sexisme...

Le trait

Un film de Benoît Labourdette (4’07s, 2020).

La lumière est ce qui donne existence.

L’affiche

Un film de Benoît Labourdette (3’02s, 2012).

Un film tactile, fait de papier et de mots.

Feu froid au château

Un film de Benoît Labourdette (1’17s, 2023).

Par moments, passé, présent, fiction et réalité se mêlent. Le moment présent devient un conte.

Deux mains

Un film de Benoît Labourdette (3’07s, 2023).

Comment accompagner celui qui n’est plus là ?

Porte

Un film de Benoît Labourdette (1’54s, 2018).

Écouter aux portes. Un exercice plus profond, poétique et contemplatif qu’on ne l’imagine de prime abord.

Votre attention s’il vous plaît

Un film de Benoît Labourdette (3’08s, 2011).

Un quai de gare, une caméra Flip posée par terre, la voix-off du chef de gare, des voyageurs qui attendent, un train qui arrive...

Vanité

Un film de Benoît Labourdette (12’56s, 2016). Avec Bénédicte Loyen.

Songe fiévreux dans une chapelle baroque. Une vanité par les mots.

Simplement un arbre

Un film de Benoît Labourdette - texte de Sonia Leplat (1’28s, 2021).

Penser, trop penser...

Reflet seul

Un film de Benoît Labourdette (2’38s, 2022).

Comment se retrouver, soi et dans le monde, après le choc ?

Chorale

Un film de Benoît Labourdette (4’10s, 2012).

La musique adoucit les moeurs.

Sous les pavés la plage de Belfast

Un film de Benoît Labourdette (1’05s, 2005).

La fascination de pouvoir filmer ce qui survient dans le quotidien, grâce aux premiers téléphones portables équipés de caméras.

Les hommes à la caméra

Un film de Benoît Labourdette (4’45s, 2015).

Composition visuelle, musicale et sonore, à partir d’une caméra volante bruyante, en référence au film « L’homme à la caméra » (Dziga Vertov, 1929).

Mouvement perpétuel

Un film de Benoît Labourdette (1’22s, 1998).

Ode à l’enfantement par un jeune adulte.

L’envers du décor

Un film de Benoît Labourdette (1’41s, 2005).

Les préparatifs d’un événement cinématographique.

Ouvertures

Un film de Benoît Labourdette (3’51s, 2013).

Injonctions paradoxales dans l’espace scolaire d’un collège, avec un traitement musical.

Sur le vide

Un film de Benoît Labourdette (3’35s, 2021).

Méditer, oui... mais comment faire ?

Madeleine

Un film de Benoît Labourdette (3’23s, 2010).

Nostalgie musicale dans le métro à Toronto.

Cette lumière

Un flm de Benoît Labourdette (1’36s, 2022).

Un soir, comme si de rien n’était.

Chaises

Un film de Benoît Labourdette (3’26s, 2012). Improvisation musicale d’Olivier Mellano.

On s’est tous assis sur des chaises, dans des salles de classe. Que nous font ces chaises ?Que nous donnent-elles ? Comment nous accueillent-elles ? Peut-on les regarder autrement que dans leur (…)

Les fleurs de Pascal

Un film de Benoît Labourdette (3’18s, 2011).

Inventer un conte. Ancrer l’histoire dans le réel. Pourquoi la forme du conte ? Sans doute pour faire à nouveau de la métaphore, de l’universel. Une simple histoire d’amour.

Pas d’image sur l’écran

Un film de Benoît Labourdette (2’54s, 2015).

Le mystère du processus physiologique à l’œuvre dans une salle de cinéma.

Retour à l’enfance

Un film de Benoît Labourdette (2’10s, 2023).

La vie fut un présent.

Nature

Un film de Benoît Labourdette (3’08s, 2021).

Reprendre contact avec la/sa nature, ce n’est pas si simple.

Les hommes et la poupée

Un film de Benoît Labourdette (4’58s, 2014).

Bordeaux. Place Saint-Michel en travaux. La nuit. Personne ou presque ne passe. Le souvenir d’un drame, inscrit dans le corps d’une poupée désarticulée.

L’indifférence

Un film de Benoît Labourdette (2’53s, 2005).

Redécouvrir le monde, entre ses dimensions réelle et imaginaire, avec un nouvel outil de prise de vue.

Un patrimoine de vie

Un film de Françoise Simpère et Benoît Labourdette (2’13s, 2020).

Ce qu’on sait qu’on emportera avec nous le jour de notre mort est sans doute ce qui peut nourrir notre énergie de vie.

À la station

Un film de Benoît Labourdette (2’41s, 2016).

La perception intime des voix intérieures des humains qui passent, qui mène à un choix de vie.

Le terrain

Un film de Benoît Labourdette (2’25s, 2020).

« Un lieu à soi, qu’est-ce que c’est ? »

Déjà l’architecture

Un film de Benoît Labourdette (4’36s, 2018).

Quête de sens contemplative dans une colonie de vacances désaffectée.

Hôtel Barcelone

Un film de Benoît Labourdette (4’44s, 2012).

Autofiction sur un adultère.

City lights

Un film de Benoît Labourdette (4’00s, 2023).

Nos deux yeux voient gauche-droite avec un écart, avant-après avec la mémoire, devant-derrière avec leur mobilité ; ils créent le relief et la profondeur.

Un arbre en larmes repousse

Un film de Benoît Labourdette (2’05s, 2023).

La vie après.

La peur

Un film de Benoît Labourdette (9’28s, 2016).

Partage sensible d’indications thérapeutiques pour lutter contre la peur, cette peur présente au fond de chacun.

Accident

Un film de Benoît Labourdette (1’57s, 2018).

« Accident sur une dune du désert blanc. Il ne reste que des rides. »

Chaque matin

Un film de Benoît Labourdette (5’44s, 2013).

Charles, vieux garçon de 37 ans qui a perdu sa mère il y a un an, perçoit par moments le monde de façon déformée, multipliée, le temps et l’espace perdant de leur réalité. Une rencontre va changer (…)

Un arbre adulte

Un film de Benoît Labourdette (2’19s, 2022).

Si j’avais su, si j’avais pu, et pourtant j’ai toujours été là.

Clocher

Un film de Benoît Labourdette (2’26s, 2013).

Sur le chemin de l’autofiction, un dialogue entre un père et son fils, interprété par la même voix.

La jeune sorcière

Un film de Benoît Labourdette (2’23s, 2020).

L’enfant sait ses pouvoirs.

Vous êtes ici

Un film de Benoît Labourdette (5’33s, 2011).

Les aveugles courent dans les rues.

L’amour au présent confiné

Un film de Benoît Labourdette, avec la collaboration de Marie Désert, François Cany et Jean-Baptiste Hanak (1’00s, 2020).

Palimpseste de vies confinées, de références picturales, d’amour naissant, de performance graphique et audiovisuelle, entre Paris et Nantes en 2020.

Hôtel des Sables

Un film de Benoît Labourdette (6’28s, 2016).

Souvenir de la présence de la personne aimée perdue, dans une chambre d’hôtel ensablée.

Loin

Un film de Benoît Labourdette (3’43s, 2013).

« Loin, bien loin dans mes pensées, tout au fond de l’écran de mes yeux imprimés d’images électroniques. »

Réservé infirmière

Un film de Benoît Labourdette (3’19s, 2011).

La trace, dans les lieux, des histoires et des drames qui s’y sont déroulés. Une place de parking réservée, une autre place de parking réservée, vides au moment où on les regarde, mais qui ont vu (…)

Protéines de pointe

Un film de Benoît Labourdette (2’51s, 2023).

Les personnes qui ont résisté pour le respect de l’humanité sont toujours présents, même pour aider ceux qui les avaient décriés.Réalisation, texte, voix, image et musique par Benoît (…)

Coco

Un film de Benoît Labourdette (2’15s, 2020).

Une noix de coco partage ses problèmes d’image : réussira-t-elle a prendre confiance en ses qualités ?

Les spectres

Un film de Benoît Labourdette, en collaboration avec Louise Moaty (3’59s, 2014).

Des mots de Charlotte Delbo émanent des traces d’humains qui étaient vivants là, quelques heures plus tôt.

Au début

Un film de Benoît Labourdette (6’29s, 2013).

Un ancien hôtel désaffecté Place du Capitole à Toulouse est le théâtre d’une divagation musicale intérieure.

Lumière dans une fenêtre

Un film de Benoît Labourdette (2’06s, 1999-2019).

Voyage contemplatif dans l’énergie de la lumière, entre nature et électronique.

Le cinéma replié

Un film de Benoît Labourdette (3’53s, 2013).

Où est le cinéma ? Qu’est-ce que le cinéma ?

La réunion

Un film de Benoît Labourdette (5’16s, 2011).

Une réunion, comme mille autres réunions. Non, celle-ci, c’est votre réunion.

Fin du film muet

Un film de Benoît Labourdette (2’31s, 2021).

Par instants, le temps et l’espace s’inversent.

ROSEBUD 2022, la fin du cinéma

Un film de Benoît Labourdette (4’45s, 2022).

Porter un deuil, c’est porter plus lourd. C’est vivre avec l’absence. C’est devenir plus lucide. C’est devoir être plus fort. C’est être plus joyeux de tout.

Relique

Un film de Benoît Labourdette (2’49s, 2024).

Comment donner une place dans notre Vie à ceux qui sont partis ?

Le baiser 1234567

Un film de Benoît Labourdette (12’46s, 2013).

Comment partager les cris silencieux, derrière les familles aux histoires lisses ?

Le vieux couloir

Un film de Benoît Labourdette (2’44s, 2021).

Le monde des adultes, incompréhensible pour un enfant dominé, abusé.

Made in China

Un film de Benoît Labourdette (6’07s, 2017).

Des animaux en plastique nous parlent.

Liberty is in your mind

Un film de Benoît Labourdette (2’15s, 2018).

Se remémorer que la liberté se conquière d’abord à l’intérieur de nous, quelle que soit la situation extérieure.

Le titre du livre

Un film de Benoît Labourdette (6’41s, 2021).

De la difficulté d’écrire, de former une trace sensible et vraie des choses les plus intimes et précieuses. Immersion dans la tête d’une autrice en quête de la mémoire d’un moment de sensualité.

À l’époque

Un film de Benoît Labourdette (2’31s, 2020).

Les plus beaux souvenirs peuvent être sans nostalgie, car la vie avance.

La méditation du métro

Un film de Benoît Labourdette (7’, 2017).

Être là sans y être, ne pas y être en y étant. Être avant tout à l’intérieur de soi-même. Méditer. Dans le métro.

Territoire imaginaire

Oeuvre vidéo numérique. Benoît Labourdette (5’51s, 2014).

Formes abstraites, couleurs d’enfants, vues du ciel.

Appelles-tu à l’aide ?

Un film de Benoît Labourdette (2’01s, 2022).

Étape après étape, la quête de la vie, à la rencontre d’un destin tragique.

Caméra crayon

Un film de Benoît Labourdette (2’11s, 2005).

Un des premiers films tournés avec téléphone mobile.

Clément Thomas Joseph Marianne Philippe

Un film de Benoît Labourdette (11’17s, 2013).

Dans la vie, les choses les plus importantes, qu’elles soient heureuses ou dramatiques, arrivent souvent par accident. L’histoire d’un homme, pas jeune, pris dans la spirale de la répétition (…)

Passage interdit

Un film de Benoît Labourdette (2’58s, 2013).

Le corps, l’espace et le tempsLe corps dans la ville, la nuit. Le corps du regard. Le regard du corps. L’expérience des allées et venues, qui est la respiration d’une ville. Est-ce que le (…)

Jésus

Un film de Benoît Labourdette (2’48s, 2016). Avec la voix de Bénédicte Loyen.

Dans la société occidentale, la langue écrite fut réinventée pour nommer Dieu. Nos mots portent malgré nous le poids du religieux. Chercher à comprendre...

Heart of/for freedom

Un film de Benoît Labourdette (1’40s, 2019).

Au delà des barrières, des barbelés, des prisons, le cœur vivant est toujours battant.

The unanswered question revisited

Film et musique de Benoît Labourdette (2’07s, 2018).

Qu’est-ce que la vie ? Est-ce que de simples petits animaux en plastique peuvent nous aider à trouver la réponse à cette question ?

De quoi as-tu peur ?

Un film de Benoît Labourdette (2’12s, 2022).

Faire la liste de ses peurs, pour peut-être déclencher quelque chose.

La pause

Un film de Benoît Labourdette (3’36, 2012).

« La pause », ce moment de la journée de travail où les êtres humains se placent dans un état enfin non productif.

Fire (white monkey)

Un film de Benoît Labourdette (3’14s, 2017).

La nuit, quand l’angoisse est là, si l’on ose regarder au delà des cendres de la vie, on peut entrevoir une image du salut.

Les yeux bleus

Un film de Benoît Labourdette (4’47s, 2016).

Faire face à son enfant, réel ou imaginaire.

Nouvelles du père

Un film de Benoît Labourdette (2’19s, 2014).

La vie sur un tableau blanc...

Déraciné

Un film de Benoît Labourdette (4’01s, 2021).

Se voir soi-même face aux racines d’un arbre.

Paris Pages Jaunes

Un film de Benoît Labourdette (1’, 2019).

Paris vu par son annuaire papier en 2019.

La plage

Un film de Benoît Labourdette (2’54s, 2021).

Sur une plage intérieure, souvenirs et projections sensuelles.

La maison rouge

Un film de Benoît Labourdette (2’17s, 2020).

De retour dans le lieu qui nous ressource.

Vire, prochain arrêt

Un film de Benoît Labourdette (3’48s, 2013).

Un jour, un train. Forme audiovisuelle hachée, dont émergent souvenirs d’enfance, confrontation à l’oubli de soi-même.

Oh nuit

Un film de Benoît Labourdette (1’29s, 2022).

Une carte postale semble prendre vie, et écrire sa propre légende.

Trio

Film expérimental de Benoît Labourdette (7’26s, 2015). Avec Marta Zielinska et Senghte Vanh Bouapha.

Un couple de « vivants-fantômes » émane des murs, des sols, des fenêtres, d’un ancien appartement.

Les pots rouges

Un film de Benoît Labourdette (2’27s, 2021).

L’homme domestique la nature. Pour de bonnes ou de mauvaises raisons ? C’est peut-être un peu plus compliqué que ce qu’on pensait. Indices pour une réflexion philosophique.

Tiens ta droite

Un film de Benoît Labourdette (2’57s, 2005).

Mouvement du regard humain, regard des machines, mouvement du monde...

Feu de paille

Un film de Benoît Labourdette (2’27s, 2019).

Les animaux morts assistent, impuissants, à la violence humaine.

Danse de parking #100

Un film de Sandra Abouav et Benoît Labourdette (3’27s, 2020).

Des délires dansés chantés volants. Une chorégraphie entre un drone et des danseurs, pour le centième et dernier opus de la série « Danse de parking » de Sandra Abouav (2017-2020). Texte de (…)

Ici a vécu le cinéaste Boris Lehman

Un film de Benoît Labourdette (8’50s, 2013).

La visite d’un appartement parisien vide, où plusieurs personnes ont vécu successivement. Émanations de mémoire des artistes Sophie Calle et Boris Lehman.

J’ai garé mon scooter

Un film de Benoît Labourdette (1’38s, 2003).

« J’ai garé mon scooter. J’ai égaré mon scooter. Si quelqu’un l’a trouvé, il peut me l’apporter. » Petite variation musicale et visuelle humoristique.

Dream

Un film de Benoît Labourdette (2’15s, 2005).

Regards et désirs dans le métro.

Palais de mémoire

Un film de Benoît Labourdette (2’17s, 2022).

Comment un simple lieu peut devenir le creuset de la révélation de nos souvenirs d’enfant ?

Je t’ai vue (I’ve seen you)

Un film de Benoît Labourdette (4’09s, 2014).

Où est notre corps ?

Le sac à dos de Brahim

Un film de Benoît Labourdette (5’04s, 2016).

Une course effrénée, pour faire le deuil du départ de l’être aimé.

Pierres de mémoire

Un film de Benoît Labourdette (8’44s, 2021).

Méditation sur la construction de sa propre mémoire, son « palais de mémoire ».

Un homme assis

Un film de Benoît Labourdette (7’37s, 2022).

Le travail du deuil, un si lent mouvement de vie.

Les vagues sont l’eau

Un film de Benoît Labourdette (4’14s, 2023).

Méditation, à partir d’une citation de Thich Nhat Hanh.

Dans le temps

Un film de Benoît Labourdette (3’34s, 2016).

Lecture des derniers paragraphes de « À la recherche du temps perdu » de Marcel Proust. Liens entre littérature, peinture et mouvement.

Marelle fragile au ciel

Un film de Benoît Labourdette (3’31s, 2019).

Le vécu intérieur d’un moment d’innovation pédagogique en classe.

Fragiles silhouettes oubliées

Un film de Benoît Labourdette (3’15s, 2023).

Ces figures vivantes, proches ou lointaines, multiples, ces instants de vie intense, s’en souvient-on ? Comme en un tableau de Bruegel l’Ancien, il n’y a pas d’ensemble, mais une multitude de (…)

Pas à pas

Un film de Benoît Labourdette (3’21s, 2021).

Un pied devant l’autre, mais vers où ?

Paris fin août

Un film de Benoît Labourdette, 4 minutes, 2009, numérique, Scope 2.35, Couleur, Son stéréo.

On croise un SDF dans la rue et on l’oublie, un instant après.

Retour en arrière

Un film de Benoît Labourdette (2’03s, 2023).

Et si, et si, et si... parfois on rêve de pouvoir revenir en arrière.

Le livre

Un film de Benoît Labourdette (3’27s, 2018).

Se rassembler autour d’un livre, se rassembler soi-même.

En leur absence

Un film de Benoît Labourdette (1’43s, 2019).

Par moments, on a la sensation, si ce n’est la certitude, d’être passé à côté de l’essentiel.

Feuille morte

Un film de Benoît Labourdette (8’33s, 2012).

Un petit coin de nature au milieu de la ville, c’est le microcosme des pulsions végétales de la vie. L’amour, le mélange des corps, les drames, les retrouvailles, toujours. Croisements d’histoires (…)

Animaux à la fenêtre, la colline de lumière

Un film de Benoît Labourdette (5’12s, 2019).

Manger les animaux ou pas ? Et si les animaux en parlaient par eux-mêmes ?

La traversée du Comique !

Un film de Macha Makeïeff et Benoît Labourdette (9’53s, 2015). Avec Thomas Morris et le chien Siegfried.

Un plan-séquence effréné à travers tous les lieux insolites du bâtiment de l’Opéra Comique à Paris. La poursuite d’une cantatrice imaginaire, à la recherche de son chien et de son « Maestro » !

Corps lumineux

Un film de Benoît Labourdette (1’42s, 2019).

« Quand l’oeil, émergeant des ténèbres, aperçoit subitement un corps lumineux, il lui semblera beaucoup plus grand à la première vue qu’à la longue. » Léonard de Vinci, Carnets (optique).

Salle des professeurs

Un film de Benoît Labourdette (2’07s, 2012).

Le quotidien sans histoires apparentes de la salle des professeurs d’un lycée de banlieue parisienne recèle des secrets lourds... une fiction inspirée de faits réels.Dix ans après la (…)

Aller vers la mer ?

Un film de Benoît Labourdette (2’35s, 2022).

Ne pas encore comprendre la disparition de son enfant. Le chercher. Ne pas le trouver. Essayer de changer de point de vue.

Série noire

Un film de Benoît Labourdette (10’06s, 2015). Avec Marion Geerebaert.

Après que la mort fut semée par l’arbitraire, une jeune femme revient hanter son compagnon.

Courts métrages

Je réalise des courts métrages comme un peintre fait des tableaux, dans une démarche généralement individuelle, loin des pratiques académiques de fabrication du cinéma. Certains films sont réalisés de façon très spontanée, d’autres peuvent prendre des années à mûrir. J’explore la rencontre entre l’image et le monde. Je vous propose des expériences de cinéma, qui bien souvent racontent aussi des histoires...