Un film de Benoît Labourdette (3’21s, 2021).
Un pied devant l’autre, mais vers où ?
Un film de Benoît Labourdette (2’24s, 2009).
Notre réel, composé de la confrontation de la beauté et du drame. Mais le réel des autres, aussi, qui vivent des drames et sont exposés, au regard de tous, au moment où ils sont le plus fragile.
Un film de Benoît Labourdette (55’33s, 2023).
« Il lui faut une heure, à la mer, pour se retirer de ton âme. » Un retrait, une explosante-fixe, un chemin vers l’origine, à peine perceptible et pourtant inexorable.
Un film de Benoît Labourdette (1’17s, 2023).
Par moments, passé, présent, fiction et réalité se mêlent. Le moment présent devient un conte.
Un film de Benoît Labourdette (2’13s, 2021).
Comme si la vie renaissait, au cœur du monde mécanique, l’amour à nouveau visible.
Un film de Benoît Labourdette (4’45s, 2022).
Porter un deuil, c’est porter plus lourd. C’est vivre avec l’absence. C’est devenir plus lucide. C’est devoir être plus fort. C’est être plus joyeux de tout.
Un film de Benoît Labourdette (2’49s, 2009).
Imaginons un instant que ces rues sont des canaux...
Un film de Benoît Labourdette (2’54s, 2015).
Le mystère du processus physiologique à l’œuvre dans une salle de cinéma.
Un film d’Erwin (1’30s, 2009).
Description circonstanciée de l’univers du quotidien d’une cité provinciale.
Un film contemplatif de Benoît Labourdette, Maëlla Mickaëlle et Jean-Philippe Poirée-Ville (17’07s, 2023).
La lumière n’est plus la même, le temps n’est plus le même, la nature est en repli-dépli, elle se réinvente dans ce nouveau monde.
Série de 30 photographies éclairées par des mots.
Sur ma proposition, des personnes ont écrit des mots en regard d’images choisies dans les milliers que je propose dans mon site web, celles qui leur ont « sauté aux yeux » et fait naître des mots, qui les éclairent et les creusent, ou les (...)
Photographies, peintures, dessins, montages et textes de Benoît Labourdette (sauf mention contraire).