Un film de Benoît Labourdette (3’52s, 2017).
La mémoire d’un drame, et une confession inattendue.
Un film de Benoît Labourdette (4’45s, 2022).
Porter un deuil, c’est porter plus lourd. C’est vivre avec l’absence. C’est devenir plus lucide. C’est devoir être plus fort. C’est être plus joyeux de tout.
Un film de Benoît Labourdette (2’, 2022).
Mouvement de découverte de sa propre histoire de vie devant le paysage qui défile à la fenêtre.
Un film de Benoît Labourdette (7’45s, 2023).
Enfin, trouver un chemin pour exister soi en l’absence de l’autre.
Un film de Benoît Labourdette (6’40s, 2017). Avec Marion Geerebaert.
Une mère revient sur les pas de sa fille disparue. Le travail du deuil, comme le travail de la naissance, est un travail d’amour inconditionnel.
Un film de Benoît Labourdette (6’06s, 2023).
Il est incompréhensible que la vie continue. Faire le deuil, ou faire œuvre de sépulture ?
Un film de Benoît Labourdette (2’38s, 2022).
Comment se retrouver, soi et dans le monde, après le choc ?
Un film de Benoît Labourdette (3’19s, 2011).
La trace, dans les lieux, des histoires et des drames qui s’y sont déroulés. Une place de parking réservée, une autre place de parking réservée, vides au moment où on les regarde, mais qui ont vu passer tellement de gens et d’histoire de vie... (...)
Un film de Benoît Labourdette (3’41s, 2023).
Trouver un sens à la vie, malgré ses plus terribles drames.
Un film de Benoît Labourdette (2’19s, 2022).
Si j’avais su, si j’avais pu, et pourtant j’ai toujours été là.
Film collectif (4’36s, 2019).
Dans une salle de cinéma, les objets de notre quotidien se confient sur la vie avec les réseaux sociaux.
Un film de Benoît Labourdette (2’07s, 2012).
Le quotidien sans histoires apparentes de la salle des professeurs d’un lycée de banlieue parisienne recèle des secrets lourds... une fiction inspirée de faits réels.Dix ans après la réalisation de ce film, ma réalité est venue percuter la (...)
Un film de Benoît Labourdette (2’03s, 2023).
Et si, et si, et si... parfois on rêve de pouvoir revenir en arrière.
Un film de Benoît Labourdette (3’25s, 2022).
Hommage. Imaginer ton chemin. Comme je peux. Sans savoir. Pour toi. Tu n’es plus. Là. Pour Hippolyte.
Un an jour pour jour après l’écriture de cette image d’un jeune homme qui filme un fil électrique, le 13 septembre 2022, mon fils Hippolyte décidait de mourir, il allait avoir 23 ans. J’écris cela aujourd’hui, le 6 mai 2023, mais je date ce (...)
Un film de Benoît Labourdette (1’53s, 2022).
Mystères insondables de l’univers, cycles inexplicables, infini circulaire et impensable. Identification au Tout. Fragmentation.
Un film de Benoît Labourdette (3’33s, 2013).
A Vitrolles, dans le sud de la France, un pic rocheux surplombe la ville. On y a trouvé des vêtements éparpillés, et un téléphone portable, dans lequel il y avait une séquence vidéo et un texte. L’œuvre d’un fou, semble-t-il, dont on n’a pas (...)
Un film de Benoît Labourdette (1’48s, 2022).
Le chemin vers sa fin n’est pas linéaire, il est tramé en plusieurs étapes, en couches non pas successives mais concurrentes, il est inédit et singulier, il est à tout instant surprenant, inattendu.
Un film de Benoît Labourdette (2’01s, 2022).
Étape après étape, la quête de la vie, à la rencontre d’un destin tragique.
Un homme est installé dans le restaurant indien. Il dit qu’il attend une femme. Je le vois de dos. Sa voix est haut perchée. On est à Paris. Il demande au serveur, qui ne parle pas français, quelle est l’adresse exacte du restaurant, car « elle (...)
Photographies, peintures, dessins, montages et textes de Benoît Labourdette (sauf mention contraire).