La trace infime, laissée sur une surface, sur une « peau », est peut-être la chose la plus importante qui soit.
Je tente de capter les mouvements organiques de ces traces infimes, qui sont peut-être les sources de la vie. Peut-être l’image du visage d’un homme est là, cachée entre les lignes du kaléidoscope, ainsi que, croit-on, la trace du visage du christ fut imprimée sur son linceul mortuaire.