Contempler le monde à travers une lentille qui le démultiplie, c’est peut-être se retrouver face à soi-même, ressentir qu’on est une partie du monde, et se reconstruire ainsi.
Le kaléidoscope propose une vision très « organique » des choses. Comme une métaphore visuelle de la division cellulaire, il ouvre à un champ de perceptions et d’émotions assez peu fréquenté, bien au delà du décoratif qu’il pourrait sembler incarner de prime abord. Cette figure m’a toujours questionné, je vous en propose des explorations cinématographiques.