Penser le mystère de la vie grâce aux mathématiques.
Texte situé page 423 du manuscrit original.
La nature recommence toujours les mêmes choses, les ans, les jours, les heures ; les espaces, de même, et les nombres sont bout à bout à la suite l’un de l’autre. Ainsi se fait une espèce d’infini et d’éternel. Ce n’est pas qu’il y ait rien de tout cela qui soit infini et éternel, mais ces êtres terminés se multiplient infiniment. Ainsi il n’y a, ce me semble, que le nombre qui les multiplie qui soit infini.