Un film de Benoît Labourdette (2’59s, 2016).
Le grenier d’une vieille maison, qui recèle un enseignement imprévu.
Dans le quotidien, tout à coup, notre oeil se pose sur quelque chose, et le suit...
Un film de Benoît Labourdette (3’02s, 2010).
La violence des images et la violence de la relation aux images, à travers le « road-movie » meurtrier d’une main.
Série de photographies.Les affiches publicitaires sur les murs des villes et dans les couloirs des transports en commun sont pour moi un facteur visuel extrêmement agressif. Je me suis toujours pris à rêver de villes sans signes autres que (…)
Un film de Benoît Labourdette (2’03s, 2010).
Sous les pavés, la plage ! Un désir de liberté, d’épanouissement, qui aujourd’hui existe, réellement, mais n’est qu’une image.
Un film de Benoît Labourdette (2’59s, 2015).
Rencontre entre des grenouilles et des machines à laver. La poésie dans le quotidien.
Film collectif (5’28s, 2020).
Quand des objets parlants nous apprennent que le numérique peut créer du lien humain.
Film collectif (3’49s, 2018).
Quand chacun trouve en lui-même sa richesse, sa joie intérieure.
Série de 15 photographies recadrées.
Principe de tarification. Plan métro. Voyageurs en situation irrégulière. Nazi. Laminé. L’éclat.
Un film de Benoît Labourdette (2’06s, 2010).
Dans un couloir du métro parisien, univers on ne peut plus urbain, des fruits émergent des murs carrelés.
Un film de Benoît Labourdette (2’48s, 2018).
Retrouver les valeurs fondamentales du travail.
Photographies, peintures, dessins, montages et textes de Benoît Labourdette (sauf mention contraire).