Un film de Benoît Labourdette (4’05s, 2009).
Imaginons un instant que cette rue est le début du monde...
Un film de Laura (0’43s, 2009).
Simple descriptif de la fenêtre de sa chambre.
Un film de Benoît Labourdette (1’42s, 2019).
« Quand l’oeil, émergeant des ténèbres, aperçoit subitement un corps lumineux, il lui semblera beaucoup plus grand à la première vue qu’à la longue. » Léonard de Vinci, Carnets (optique).
Un film de Marie (2’14s, 2009).
Garder une trace de ce que l’on voit de chez soi et non pas de ce qu’il y a chez soi. Même si ce que l’on voit de chez soi nous semble banal, l’important est le partage de son regard.
Un film de Benoît Labourdette (1’50s, 2020).
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
Série de 32 photographies nocturnes en intérieur.
Au beau milieu de la nuit, un éveil qui n’en est pas un me fait voir la fenêtre de la chambre comme un être qui semble vouloir me dire une chose importante.
Un film de Benoît Labourdette (2’31s, 2020).
Les plus beaux souvenirs peuvent être sans nostalgie, car la vie avance.
70 photographies en chambre d’insolation.
De l’insolence des objets qui nous regardent, toujours d’en haut ; de la condescendance des miroirs, qui ne réfléchissent que ce qu’ils veulent ; de l’oubli de la nature, percutée par notre vanité.
Photographies, peintures, dessins, montages et textes de Benoît Labourdette (sauf mention contraire).