Un film de Benoît Labourdette (2’39s, 2020).
Cette étrange sensation, parfois le matin, de ne pas encore savoir où l’on se trouve.
Série de photographies. Un baiser impromptu... tradition parisienne ? Et comment notre regard le transforme.Un matin en 2007, parmi les cols blancs qui courent à leurs bureaux dans les tours du quartier d’affaires parisien de La Défense, une (…)
Un film de Benoît Labourdette (4’05s, 2009).
Imaginons un instant que cette rue est le début du monde...
Un film de Benoît Labourdette (6’11s, 2018).
Un événement traumatique bouleverse passé, présent et notion de réalité.
Série de 38 photos fixes.
Un matin comme un autre, sur le pont d’Austerlitz à Paris, chacun s’en va, ou s’enfuit, vers son lieu d’activité. Ce qui se passe en l’espace d’une seconde.
Un film de Benoît Labourdette (2’01s, 2022).
Étape après étape, la quête de la vie, à la rencontre d’un destin tragique.
Série de 25 photographies au petit matin.
À l’instant du réveil, la vision n’est pas encore claire, et l’esprit n’est pas encore ancré précisément dans le corps.
Un film de Benoît Labourdette (5’44s, 2013).
Charles, vieux garçon de 37 ans qui a perdu sa mère il y a un an, perçoit par moments le monde de façon déformée, multipliée, le temps et l’espace perdant de leur réalité. Une rencontre va changer sa vie.
Un film collectif, initié et agencé par Benoît Labourdette (1h01’, 2009-2020).
Regardez par la fenêtre de chez vous, et pensez à un souvenir important.Ce film collectif est composé de 44 vidéos (parmi 500 réalisées) tournées par des personnes en France, en Algérie et en Tunisie, entre 2009 et 2013, dans le cadre (…)
Série de 313 photographies pour représenter 36 minutes de temps.
Tentative de symbolisation visuelle de l’effet mental d’un réveil qui sonne, et re-sonne, et re-sonne encore le matin… Avec une évolution de l’effet sur les ondes cérébrales, au fur et à mesure que le temps passe.
Un film de Benoît Labourdette (2’25s, 2020).
« Un lieu à soi, qu’est-ce que c’est ? »
Série de 34 pauses photographiques matinales.
Puissance et présence de l’arbre au cœur de la banlieue fabriquée.
C’est vrai, ma vie c’est cela, c’est la création, et je ne dérogerai plus jamais à cela. Toujours créer, produire, partager, à tous instants. Ça m’encourage à me connaître mieux, à savoir que ma vie c’est cela, la création, chaque jour, comme une (…)
Photographies, peintures, dessins, montages et textes de Benoît Labourdette (sauf mention contraire).