Défaillance de la mémoire, portant soit sur des connaissances ou aptitudes acquises, soit sur les souvenirs ; fait d’oublier.
Un film de Benoît Labourdette (7’37s, 2022).
Le travail du deuil, un si lent mouvement de vie.
Un film de Benoît Labourdette (3’48s, 2013).
Un jour, un train. Forme audiovisuelle hachée, dont émergent souvenirs d’enfance, confrontation à l’oubli de soi-même.
Un film de Benoît Labourdette (1’22s, 2019).
Où l’activité d’écrire nous amène sans qu’on l’ait voulu dans des profondeurs insondables.
Un film de Benoît Labourdette (3’02s, 2012).
Un film tactile, fait de papier et de mots.
Série de 42 photographies vers le bas.
Sol, ciment, eau, quelques arbres, traces de pneus et de travaux anciens, mégots, reflets, soleil qui se lève, ombres de ce qui surplombe le support du passé oublié, aplat de vie évanescente.Comment le réel se révèle par son ombre et son reflet, (...)
Un film de Benoît Labourdette (4’22s, 2018).
Les mystères et paradoxes de la justice, comme autant de traces de mouvements électriques oubliés dans le passé.
Film collectif (7’30s, 2019).
Les choses numériques nous chuchotent leur existence à l’oreille.
Un film de Benoît Labourdette, 4 minutes, 2009, numérique, Scope 2.35, Couleur, Son stéréo.
On croise un SDF dans la rue et on l’oublie, un instant après.
Un film de Benoît Labourdette (3’14s, 2017).
La nuit, quand l’angoisse est là, si l’on ose regarder au delà des cendres de la vie, on peut entrevoir une image du salut.
Un film de Benoît Labourdette (2’33s, 2021).
Une myopie peut se déclencher avec un traumatisme. Il nous reste la poésie.
Un film de Benoît Labourdette (5’27s, 2018).
Découvrir dans la matérialité du monde qu’une œuvre d’art n’est pas ce que l’on croit.
Un film de Benoît Labourdette (2’19s, 2014).
La vie sur un tableau blanc...
Photographies, peintures, dessins, montages et textes de Benoît Labourdette (sauf mention contraire).