Puis, collectivement aussi, chacun prend la parole, dit son nom et ce qui lui fait peur.
A travers une promenade dans les photographies des un.e.s et des autres, une ancienne bibliothèque devient le lieu de la rencontre profonde des regards et des vies.
Une machine « Photomaton » avec marketing interactif m’a frappé.
On retrouve la phrase rituelle que beaucoup de femmes ont pu prononcer un jour, par peur d’employer un mot stigmatisé, mais pour s’autoriser quand même à exprimer un désir d’égalité.
Série de photographies.