Un film de Benoît Labourdette (7’, 2017).
Être là sans y être, ne pas y être en y étant. Être avant tout à l’intérieur de soi-même. Méditer. Dans le métro.
Un film de Benoît Labourdette (5’, muet, 2022).
Près de la fin, on se promène.
Un film de Benoît Labourdette (2’39s, 2022)
Un soir, le temps est à l’envers. Texte du filmCe soir làAu retourIl ne sut plusL’avantDeL’après
Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (1’10s, 2013).
Une cour, une réception. Par la soustraction visuelle de quatre plans superposés filmés les uns après les autres, les êtres humains mutent en traces de leur présence, c’est à dire deviennent quasi absents, révélant les contours de la structure (...)
Un film de Benoît Labourdette (2’21s, 2019).
Quand une architecture faite de verre révèle son abstraction intrinsèque.
En passant par là, on s’arrête.
Il le fait tous les soirs, imperturbablement, et pourtant ce qui se passe à cet instant est toujours indescriptible. Comme un point de contact avec l’existence de l’univers.
Album musical
Ces 14 morceaux musicaux ont constitué mon premier disque, « La ville érogène » (2001), construit autour de sons réels, de granularisations et de percussions très simples. Dans mon chemin de découverte du langage musical, c’est le premier signe (...)
Un film de Benoît Labourdette (2’37s, 2020).
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
Classical:NEXT 2018 (Rotterdam, Pays Bas) mettait la France à l’honneur. Soirée d’ouverture le 16 mai 2018, pour 700 professionnels du secteur de la musique classique.A la demande de Françoise Clerc, directrice du pôle classique et jazz de (...)
Photographies, peintures, dessins, montages et textes de Benoît Labourdette (sauf mention contraire).