Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (4’30s, 2000).
A partir d’une boucle sur un son d’ambiance d’une vidéo amateur, construction d’un objet numérique abstrait, que la bande son anthropomorphise.
Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (1’10s, 2013).
Un hall de gare un jour de départ en vacances est un espace excessivement éphémère, qui à mon avis, pour être révélé dans une vérité de ce qui s’y joue humainement, se prête bien au traitement visuel de soustraction de pixels.
Dans une « cité », un quartier populaire de cette ville proche de Marseille, faite d’immeubles alignés, il y a des actions, artistiques et sociales : fabriquer de la confiture, construire du mobilier urbain... une petite fête, au cœur du quotidien.
Un film de Benoît Labourdette (2’08s, 2019).
Descente collective d’escalier. Tentative d’épuisement d’un lieu romain.
Un film de Benoît Labourdette (2’00s, 1998).
Quelqu’un a vomi sur le trottoir. La foule marche en évitant la flaque de vomi. Quelqu’un ressent la douleur de celui qui était là quelques minutes avant, et qui vomissait parce qu’il avait trop mal. La douleur des exclus.
Une cour, une réception. Par la soustraction visuelle de quatre plans superposés filmés les uns après les autres, les êtres humains mutent en traces de leur présence, c’est à dire deviennent quasi absents, révélant les contours de la structure (...)
Série de photographies.Une pause longue, en début de soirée au mois de juin, le long de la palissade qui couvre les travaux du Forum des Halles à Paris. Un petit parcours, juste la trace des prémices d’un projet... la pause longue est l’un (...)
Un film de Benoît Labourdette (7’59s, 2016).
L’engagement politique commence par regarder, et nommer ce que l’on voit.
Un film collectif (3’05s, 2021).
Ils ont tous des désirs forts, mais ils se sentent seuls et abandonnés.
Photographies, peintures, dessins, montages et textes de Benoît Labourdette (sauf mention contraire).