Ballade nocturne

Un film de Benoît Labourdette (2’36s, 2015).

Se promener en sa nuit intime, immobile, les yeux en mouvement derrière leurs paupières fermées.

Cette lumière

Un flm de Benoît Labourdette (1’36s, 2022).

Un soir, comme si de rien n’était.

City lights

Un film de Benoît Labourdette (4’00s, 2023).

Nos deux yeux voient gauche-droite avec un écart, avant-après avec la mémoire, devant-derrière avec leur mobilité ; ils créent le relief et la profondeur.

Les ailes

Un documentaire court de Benoît Labourdette (4’36s, 2011).

Le hasard du monde m’amène à croiser une sculpture de Richard Texier dans le port de la Rochelle, au mois de juillet 2011. S’ensuit une correspondance, écrite puis filmée.

L’enfant devenu seul

Un film de Benoît Labourdette (2’37s, 2020).

La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.

Peur

Ce qui nous fait peur est souvent ce qui nous est inconnu. Des sons notamment.Musique instrumentale, 2017, 1’45s. Improvisation de Benoît Labourdette (synthétiseurs).Improvisation réalisée sous seing privé, le 8 septembre 2017 (Benoît (…)

En leur absence

Un film de Benoît Labourdette (1’43s, 2019).

Par moments, on a la sensation, si ce n’est la certitude, d’être passé à côté de l’essentiel.

Regarder en bas

Un film de Benoît Labourdette (3’20s, 2022).

Oser regarder en face ses plus grandes peurs, quelques instants. Plonger en conscience. Construire.

Projection de nuit dans le quartier Fontbarlettes (Valence)

Atelier projection itinérante.

Atelier d’organisation d’une projection itinérante pour des jeunes du quartier Fontbarlettes à Valence (Maison pour tous). Le projet : action culturelle et formationEn partenariat avec le Festival Valence scénario, proposer à 3 jeunes du (…)

91 Gare du Nord

Série de 67 photographies d’un autobus.

Un élément déclencheur, et tout le monde danse, dans tous les sens !

À l’époque

Un film de Benoît Labourdette (2’31s, 2020).

Les plus beaux souvenirs peuvent être sans nostalgie, car la vie avance.

Le turbulent et le laminaire

Un film de Benoît Labourdette (1’46s, 2021).

Une mathématique de la nature.

Etoiles

Série de photographies.Les photographies en pause longue, de nuit avec mouvements d’appareil, produisent des dessins, des univers visuels souvent très esthétiques, du fait de la continuité des traits ainsi formés, qui fabriquent une harmonie (…)

Le titre du livre

Un film de Benoît Labourdette (6’41s, 2021).

De la difficulté d’écrire, de former une trace sensible et vraie des choses les plus intimes et précieuses. Immersion dans la tête d’une autrice en quête de la mémoire d’un moment de sensualité.

Porte

Un film de Benoît Labourdette (1’54s, 2018).

Écouter aux portes. Un exercice plus profond, poétique et contemplatif qu’on ne l’imagine de prime abord.

Le lit

Un film de Benoît Labourdette (2’53s, 2016).

Comment un amour passé se dissout dans les amours présentes.

Bain de minuit

Hôtel Barcelone

Un film de Benoît Labourdette (4’44s, 2012).

Autofiction sur un adultère.

Etude pour mains 9

Un film de Benoît Labourdette (2’06s, 2010).

La nuit, les souvenirs ressurgissent. Comme dans un rêve, les gestes reviennent dans les mains, sans même qu’on s’en aperçoive. C’est notre corps qui « enregistre », qui mémorise, qui inscrit dans notre mémoire, en « repassant le film » de la (…)

Maison des métallos : parcours cinématographique nocturne

La maison des métallos, établissement culturel de la ville de Paris, m’a accueilli dans le cadre de l’événement « Beaux parleurs » pour une projection de cinéma itinérant, dans le quartier, un parcours nocturne à la découverte de films étonnants (…)

Passage interdit

Un film de Benoît Labourdette (2’58s, 2013).

Le corps, l’espace et le tempsLe corps dans la ville, la nuit. Le corps du regard. Le regard du corps. L’expérience des allées et venues, qui est la respiration d’une ville. Est-ce que le temps, dans la ville, est un espace chronologique, dans (…)

En taxi

Tard dans la nuit. Sous la pluie. La voiture s’arrête. Je cours sous les cordes pour m’y engouffrer. Je dis mon prénom, pour que le chauffeur puisse être sûr. Mais c’est évident pour lui. Ce n’est pas la peine de le dire, il n’y avait que moi (…)

Coeur de la nuit

Le pli

Série de 80 photographies de la lumière.

Des plis dépliés illuminés dans la nuit inouïe d’un regard qui revit.

L’adolescente écrouée

Un film de Benoît Labourdette (2’24s, 2009).

Notre réel, composé de la confrontation de la beauté et du drame. Mais le réel des autres, aussi, qui vivent des drames et sont exposés, au regard de tous, au moment où ils sont le plus fragile.

Fabrication de la lune

Série de 84 photographies au tour de potier.

À travers les arbres, les rêves et mes mains tendues vers l’espoir, cette lune qui rythme nos cycles je voudrais l’inventer, la refabriquer comme terre glaise, pour lui redonner vie dans mes vies.

Aubervilliers et La Courneuve : Les films font le mur !

Les films font le mur : ciné-balades en Seine Saint Denis. Dimanche 25 octobre et samedi 31 octobre 2015 à 18h. A la tombée de la nuit, vous serez conviés à une promenade pas comme les autres, vous partirez à la découverte de films courts (…)

Festival Travelling Rennes 2015

Parcours de projections nocturnes, sous forme d’atelier, au sein du Festival Travelling Rennes 2015.Les personnes inscrites ont passé l’après-midi avec moi, à choisir chacun un court métrage, ou un extrait de film, qu’ils avaient envie de (…)

Imaginons un instant - Episode 11

Un film de Benoît Labourdette (1’54s, 2009).

Imaginons un instant que les voitures n’existent pas...

Rencontres Passeurs d’images 2016 : atelier pico-projection

Dans le cadre des Rencontres Nationales Passeurs d’images 2016, le 19 novembre 2016, j’ai proposé un « atelier pico-projection », des expériences partagées, avec des professionnels de l’éducation à l’image et avec des jeunes, pour réfléchir, en (…)

Ligne de fuite

Série de 38 photos fixes.

Un matin comme un autre, sur le pont d’Austerlitz à Paris, chacun s’en va, ou s’enfuit, vers son lieu d’activité. Ce qui se passe en l’espace d’une seconde.

Et si j’étais à l’extérieur ?

Un film collectif encadré par Benoît Labourdette (6’, 2021).

Les souvenirs de chacun associés créent un espace sensible collectif, dont la bibliothèque est riche.

Festival Travelling Rennes 2016

Atelier participatif de projection itinérante dans le cadre du Festival Travelling Rennes 2016.Des personnes s’inscrivent, et, en une après-midi, chacun choisit un film, ou un extrait de film, ainsi que le lieu de la projection de ce film. La (…)

Imaginons un instant - Episode 18

Un film de Benoît Labourdette (2’49s, 2009).

Imaginons un instant que ces rues sont des canaux...

En souvenir d’Alice

Un film de Benoît Labourdette (6’40s, 2017). Avec Marion Geerebaert.

Une mère revient sur les pas de sa fille disparue. Le travail du deuil, comme le travail de la naissance, est un travail d’amour inconditionnel.

Pauline attend un instant

Un film de Benoît Labourdette (2’12s, 2018).

On emprunte tous le même escalier. On s’y croise, chaque matin et chaque soir. On fait semblant de rien.

Tuyau

Un film de Benoît Labourdette (1’52s, 2021).

Un tuyau nous parle de son pouvoir.

Nuit intérieure

Série de 30 photographies de nature vivante.

Cette forêt intérieure imaginaire, toujours nocturne et mouvante, inquiétante, j’y marche dans mes rêves, avec difficulté. De grands arbres iréels. Au réveil, je ne la vois plus. Mais elle m’imprègne. Et je ne sais pas encore comment m’en (…)

Nocturne

Tube dansant

Série de 100 photographies de mise en mouvement des lumières d’une ville.

Madame, m’accorderiez-vous cette danse ?

Les hommes et la poupée

Un film de Benoît Labourdette (4’58s, 2014).

Bordeaux. Place Saint-Michel en travaux. La nuit. Personne ou presque ne passe. Le souvenir d’un drame, inscrit dans le corps d’une poupée désarticulée.

Festival d’Avignon - Parcours nocturnes « Fast Movies »

Un parcours, la nuit, à la découverte de films projetés sur les murs, les portes, le sol, les bas reliefs, les fenêtres... dans les rues d’Avignon.Les films, tournés avec téléphone portable, caméra de poche ou appareil photo, sont sélectionnés (…)

Une jambe

Musique instrumentale, 2017, 4’01s. Improvisation de Benoît Labourdette (synthétiseurs).

Courir, courir dans sa tête.Improvisation réalisée sous seing privé le 20 octobre 2017.

Appel d’air Arras

Programme de films de Benoît Labourdette en projection itinérante à Arras.Dans le cadre de la manifestation d’art contemporain « Appel d’air » à Arras, j’ai proposé une projection itinérante d’une sélection de mes films. Projections sur des (…)

Bord rivière. Nuit. Allemagne. Amour. Romantisme.

Une photographie et ses deux nuances.

Le temps de la nuit, retour sur soi.

Souviens-toi ici par la fenêtre

Un film collectif, initié et agencé par Benoît Labourdette (1h01’, 2009-2020).

Regardez par la fenêtre de chez vous, et pensez à un souvenir important.Ce film collectif est composé de 44 vidéos (parmi 500 réalisées) tournées par des personnes en France, en Algérie et en Tunisie, entre 2009 et 2013, dans le cadre (…)

Figures

Série de 36 photographies au bûcher.

Se faisant face dans l’affront, l’ombre et la lumière se toisent, s’envisagent, et dansent leur danse de mort. Elles circonvolent à en perdre haleine, croyant alternativement prendre le dessus. Elles sauront plus tard qu’elle tissaient là leur (…)

Hôtel des Sables

Un film de Benoît Labourdette (6’28s, 2016).

Souvenir de la présence de la personne aimée perdue, dans une chambre d’hôtel ensablée.

Bord de Marne

Un film de Benoît Labourdette (1’51s, 1997).

La douleur du voyage quotidien dans la banlieue parisienne.

Luminescent

Festival des scénaristes 2018

Projection itinérante la nuit à Valence, dans le cadre du Festival international des scénaristes, sur la thématique de l’évolution de l’écriture audiovisuelle en fonction des technologies.En clôture du festival, le 7 avril 2018, rendez-vous (…)

Palite

Être bercé par la lune. C’est calme de prime abord, et puis tout s’anime.Musique instrumentale, 2017, 3’41s. Improvisation de Benoît Labourdette (synthétiseurs).Improvisation réalisée sous seing privé, le 13 septembre 2017 (Benoît (…)

La création est libre.

Elle se fait quand elle le décide, la nuit, le jour, n’importe où ! Et elle fait comme elle veut, elle ne respecte aucune règle, c’est là sa qualité principale, d’ouverture.

Les adieux

Ciné balade à Ivry-sur-Seine

Atelier-projection itinérante, 21 juillet 2023 à 22h.

Un nouveau rendez-vous pour vivre le cinéma et Ivry autrement.Cet été, devenez programmateur et programmatrice !Le principe : Le Luxy vous propose de suivre trois ateliers menés par Benoît Labourdette les mercredi 19, jeudi 20 et vendredi (…)

Chez Rachid

Création vidéo de Benoît Labourdette (2’58s, 2014).

La trace infime, laissée sur une surface, sur une « peau », est peut-être la chose la plus importante qui soit.

Théâtre National Populaire

Un film de Benoît Labourdette (2’39s, 2014).

Personnages surgis de la mémoire collective.

Nuit

Route de nuit

Un film de Benoît Labourdette (3’44s, 2013).

« Petit enfant, au fond du siège arrière de la voiture, le voyage et les lumières de la nuit ne sont pas très réels. La fatigue aidant, trois minutes de voyage dans la rue paraissent trois longues heures d’expériences contemplatives abstraites. »

Imaginons un instant - Episode 1

Un film de Benoît Labourdette (2’05s, 2009).

Imaginons un instant que la nuit n’existe pas...

Festival du documentaire engagé : In Excelsis

Diffusion de l’installation vidéo « In excelsis » (Jean-Philippe Poirée-Ville, Maëlla Mickaëlle, Benoît Labourdette) dans le cadre du « Festival du documentaire engagé » à Bretenoux et Teyssieu (Lot). Septembre 2016, à l’initiative de Carole (…)

Dans la grotte (2001)

Album musical

Deuxième album, en 2001, constitué de 15 morceaux pour une ambiance nocturne, un peu claustrophobe, à consonnances vocales et matérielles. Composition à partir de sons réels, de résonances chuchotantes. Univers sonore granulaire par moments. (…)

Éclosion du diamant

Un film de Benoît Labourdette (2’07s, 2022).

Au travers des plus sombres traversées, peuvent se révéler les plus puissantes forces intérieures.

Espérance

Un film de Benoît Labourdette (1’50s, 2018).

S’accrocher à des piliers plantés dans l’eau depuis des siècles, pour espérer.

La lune dans l’eau

Un film de Benoît Labourdette (2’45s, 2014).

Dialogue entre un haïku de Ueda Chôshû et les images organico-génératives de kaléidoscopes composés avec le réel.

Château glissant

Série de 70 photographies filantes.

Poursuite de la fuite dans l’espace mental des films anciens, au noir de charbon. Escalier éternel, qui fait sentir l’angoisse d’une chute ascendante.

Dessein d’amour

Série de 15 photographies dansées.

En m’approchant de ce simple arbre dans la ville, ce soir là, petit à petit j’ai ressenti la puissante énergie de sa sève, projetée vers ses branches les plus hautes. Et c’est un pas de danse, réitéré, qui m’est venu. Et mon regard l’a embrassé (…)

La peur

Un film de Benoît Labourdette (9’28s, 2016).

Partage sensible d’indications thérapeutiques pour lutter contre la peur, cette peur présente au fond de chacun.

Souvenir de l’amour

Un film de Benoît Labourdette (1’23s, 2020).

Le lieu de vie, qu’est-ce ? Plus qu’un endroit, c’est peut-être surtout le temps dans lequel on vit les choses importantes pour soi.

MA Scène nationale Montbéliard : « Joseph », film itinérant de Joseph Morder

Un film conçu pour être projeté de façon itinérante sur les murs de la ville.Yannick Marzin, directeur de la Scène nationale de Montbéliard, a proposé au cinéaste Joseph Morder et à moi-même de concevoir ensemble un film itinérant : en appui (…)

Feu froid au château

Un film de Benoît Labourdette (1’17s, 2023).

Par moments, passé, présent, fiction et réalité se mêlent. Le moment présent devient un conte.

La luciole

Un film de Benoît Labourdette (2’04s, 2019).

Dans la peau d’un insecte fragile, la nuit. D’après un haïku d’Ôshima Ryôta (1716-1784).

Petit bonhomme

Série de 55 photographies de la projection d’un disparu.

Je te vois depuis longtemps, et là je comprends ta démarche si particulière, aplati sur le sol, pour toujours immobile. J’essaie de refaire le film mais je n’y arrive pas, il ne reste plus qu’une seule étape de ton mouvement.

Mouvement (pensée 129)

Un film de Benoît Labourdette (1’22s, 2020).

En la nuit, se révèlent parfois à nous des vérités si lucides qu’elles ne survivent pas au retour de la lumière.

Performance alchimique vidéo mapping

Samedi 3 juin 2023. Dans le cadre de Nuit Blanche 2023. Par Isabel Bertelot, Benoît Labourdette et « Les Manoirs ».

Quand dans la nuit, vivante de réminiscences du cinéma muet féminin, des lumières naissent dans l’obscurité picturale, et surgissent des lettres et des mots mouvants, composés comme des corps sensibles et musicaux, c’est une alchimie qui immerge (…)

Série noire

Un film de Benoît Labourdette (10’06s, 2015). Avec Marion Geerebaert.

Après que la mort fut semée par l’arbitraire, une jeune femme revient hanter son compagnon.

Fenêtre troublée par la nuit

Série de 32 photographies nocturnes en intérieur.

Au beau milieu de la nuit, un éveil qui n’en est pas un me fait voir la fenêtre de la chambre comme un être qui semble vouloir me dire une chose importante.

Oh nuit

Un film de Benoît Labourdette (1’29s, 2022).

Une carte postale semble prendre vie, et écrire sa propre légende.

Reflet seul

Un film de Benoît Labourdette (2’38s, 2022).

Comment se retrouver, soi et dans le monde, après le choc ?

Taxis

Création vidéo de Benoît Labourdette (2’16s, 2014).

Des lumières dans la nuit.

« Par ma fenêtre »

Projection itinérante dans le cadre du Festival Valence scénario.

Projection itinérante dans la vieille ville de Valence d’une sélection de films « Par ma fenêtre ».Le Festival international de Valence - Scénaristes et Compositeurs n’a pas pu avoir lieu en avril 2020 du fait du confinement. Un partenariat (…)

Au moins on aura essayé

Ballade nocturne

Musique concrète, 2015, par Benoît Labourdette (2’15s).

Des nappes d’ambiances se superposent. Pour monter plus haut, ou descendre plus profond ?Musique du film « Ballade nocturne » (Benoît Labourdette, 2’36s, 2015).

Ma continuité.

Je me rends compte, à lire l’article sur moi dans « Droguistes », qu’il y a une continuité de sens entre « Fatigue » et les films que je fais aujourd’hui, que je suis toujours en appui sur mes sensations.